Deux noyaux principaux
La répartition des sites olympiques fait toute la valeur ajoutée du projet Paris 2012. Sur 32 prévus, 19 sites d'envergure, dont le Stade de France®, sont déjà existants. Selon les voeux du CIO, ils seront exploités en priorité.
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Composée de 32 sites, l’organisation spatiale privilégie l’optimisation de 19 sites existants. (© G. Sanz - Mairie de Paris) |
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Composée de trente-deux sites, l’organisation spatiale privilégie l’optimisation
de dix-neuf sites existants, parmi lesquels figurent : le Stade de France®, Roland
Garros, les hippodromes de Longchamp et d’Auteuil, le Palais Omnisport de Paris-Bercy,
la base nautique de Vaires-sur-Marne ou encore la Croix Catelan, site Olympique
en 1900.
Les stades de Football des villes de province ont tous accueilli la Coupe du
Monde de Football FIFA de 1998, ce qui garantit un haut niveau d’équipement (normes
FIFA). |
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Parmi les treize sites supplémentaires, sept seront temporaires.
Le territoire francilien bénéficiera de l’héritage post Olympique suivant :
• le Centre Nautique,
• le "SuperDôme",
• le Vélodrome,
• le Centre de Tir.
A noter que l’intégration des besoins Olympiques dans la programmation de l’extension
prévue du Stade Roland Garros enrichira un projet déjà ambitieux.
Ces équipements répondent à des besoins clairement identifiés par le mouvement
sportif et les collectivités locales.
Leur capacité d’accueil sera réduite après les Jeux pour garantir une utilisation
et une exploitation post-Olympique durables. |
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